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Aujourd’hui, c’est moi qui ai changé la photo du jour! Je fais quelques progrès en HTML!
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Le Détroit de Magellan - entre Patagonie & Terre de Feu Chili ~ vendredi 20 octobre 2006 |
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Aujourd’hui, c’est moi qui ai changé la photo du jour! Je fais quelques progrès en HTML!
Il n’est pas si facile que ça d’acheter un billet tour du monde ! On a naïvement commencé nos recherches en allant dans quelques agences de voyage de la région, où l’on nous a toujours (plus ou moins poliment) expliqué la même chose : ce genre de billet ne les intéresse vraiment pas car ils sont trop compliqués à établir et ils ne rapportent pas assez («Vous ne seriez pas plutôt intéressés par une semaine de plage à Ibiza ?»). Après ces déconvenues, nous nous sommes ensuite tournés vers des agences plus lointaines (à Lausanne et à Paris) mais spécialisées dans les tours du monde. Et nous nous sommes aperçus bien vite que ces agences facturaient un service que l’on pouvait très bien faire nous-mêmes.
Nous avons donc fait nos petites recherches sur internet, où l’on a découvert qu’il existe 3 grandes alliances de compagnies aériennes : oneworld, SkyTeam, et StarAlliance.
En ce qui nous concernait, seule la première – oneworld – répondait bien à nos exigences sur notre itinéraire : en effet, on y trouve des compagnies nord-américaine (AmericanAirlines), sud-américaines (LanPeru, LanChile), australienne (Qantas) et le lien entre tout ça est assuré par British Airways. Ce qui colle parfaitement avec nos envies.
Bref, il nous est apparu plus simple de téléphoner directement chez British Airways afin d’avoir les renseignements à la source. Et tout s’est bien passé avec eux, même si acheter un billet d’avion par téléphone se révèle forcément plus laborieux que de pouvoir le faire directement dans une agence. Il faut dire que l’on a passé pas mal de temps à essayer de préparer notre billet selon les informations recueillies sur internet, ce qui nous a évité certainement pas mal de téléphones supplémentaires.
Quant au type de billet retenu, le calcul a été vite fait : avec les trajets que nous avions choisis, le billet tenant compte du nombre de miles ne convenait pas (oneworld global explorer), nous avons donc choisi l’option «miles illimités» (oneworld explorer) avec prix selon le nombre de zones-continents visitées (5 pour nous). Il a fallu aussi se restreindre au niveau de nos vols, puisqu’ils sont limités à 20. Et on y arrive vite, surtout quand il faut faire des transits non souhaités (genre passer par Sydney pour aller de Perth à Johannesburg).
Après une demi-douzaine de téléphones à British Airways, nos billets étaient réservés et payés : ce fut le plus grand montant jamais débité sur ma carte de crédit : 11 248,70 francs suisses, dont 2 300 francs suisses de taxes d’aéroport, soit 20% du prix total !!!).
~ les photos du jour ~ | |
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Le voilà dans son intégralité. En tout cas, c’est le parcours que nous ferons en avion ; l’Amérique du Sud notamment se fera beaucoup par bus, taxi, pieds, lama et autres moyens de transport exotiques.
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Hé oui, dans 4 semaines précisément, nous serons partis! Nous volerons en direction de notre première destination: Boston.
Il est assez difficile de se rendre compte que dans si peu de temps, nous aurons réellement débuté notre tour du monde. Nous parlons depuis tellement longtemps de ce voyage qu’il semble malgré tout encore irréel. Il faudra probablement attendre notre premier embarquement pour que l’on réalise que “Ca y est, on part!".
Néanmoins, ce n’est pas une raison pour négliger les préparatifs. Pendant que Thomas travaille dur à son boulot, je téléphone, je me renseigne, j’écris des lettres, bref, je m’occupe de la partie “paperasserie". J’essaie de penser à un maximum de choses pour que l’on n’ait pas trop de problèmes pendant le voyage et pour que l’on ne laisse pas trop de trucs en suspens derrière nous: par exemple éviter que les factures d’assurance-maladie restent impayées pendant 6 mois! Non seulement on ne serait pas assurés pendant le voyage mais en plus, on se retrouvait mis aux poursuites à notre retour! Charmant…
On s’est aussi occupés d’acheter un peu de matériel ces derniers jours: la tente, des chaussures, des sacs à dos, du matériel de camping.
Bon, pour résumer, les préparatifs avancent. Je crois que l’on devrait être prêts au moment du départ… sauf pour l’espagnol, aïe, aïe, aïe, Caramba! Est-il raisonnable de penser apprendre une langue (ou en tout cas ses rudiments) en 4 semaines??
— Delémont, Canton du Jura, Suisse
Le mercredi 31 janvier, en début d’après-midi, nous tournions la clef dans la serrure de notre appartement, marquant ainsi la fin de notre tour du monde en (cent) quatre-vingts jours. Voilà, c’était fini la belle aventure, retour à la vie réelle. L’avion Londres-Bâle a d’ailleurs progressivement préparé nos retrouvailles avec l’hiver, survolant sous un soleil resplendissant une Europe toute noyée de nuages. Mais soyons francs : j’avoue avoir, en prenant une première bouffée d’air gris et froid, esquissé un sourire : revoilà l’hiver ! Dans le train nous ramenant à Delémont, la vue des arbres dénudés sur les roches blanchies de neige me rappelait le souvenir de fumantes tasses de chocolat (suisse, bien sûr) dégustées après avoir affronté la bise glaciale. Et la promenade que nous avons fait cet après-midi dans les superbes montagnes du Jura, sous un ciel d’un bleu limpide, a exaucé mon vœu : au sommet de la montagne, notre marche fut récompensée par la vallée paisiblement étendue sous nos pieds et une auberge chaude & accueillante !
Si notre retour à la vie réelle n’a pas été trop difficile, c’est en partie grâce à Madeleine, notre charmante propriétaire, et Manuel, mon patron. Contrairement à bon nombre de voyageurs au long cours, qui doivent tout larguer pour pouvoir partir plusieurs mois, nous avons eu la chance de pouvoir garder appartement & travail, ce qui facilite considérablement la réadaptation au monde moderne. Madeleine a bien voulu garder un appartement vide pendant une demi-année, tandis que Manuel m’a à nouveau accueilli chez SiTaDeL après ces six mois sabbatiques. Ainsi, nous n’avons pas eu à squatter chez les uns ou les autres en attendant de retrouver un boulot - ce qui pour Carine ne pose a priori pas de problème, mais cela s’avère plus délicat en ce qui me concerne : les pharmaciens restent inexpliquablement plus demandés que les cartographes ! En tout cas, je leur adresse un grand merci à tous deux !
Un autre grand merci que je veux formuler, c’est à vous, chères lectrices & chers lecteurs de ces lignes. Connus ou inconnus, prompts à laisser quelques commentaires ou au contraire d’une discrétion absolue, nous avons toujours été ravis à la pensée de savoir que vous suiviez notre périple et partagiez nos découvertes… et peut-être un peu de notre émerveillement ? Mais sachez que la fin du voyage ne signifie pas la fin de ce blog. Il faut avant tout - surfant sur les ondes positives émises par nos voisins Christelle & Fabio - que je mette en ligne les derniers billets d’Afrique du Sud… eh oui, vous aurez remarqué que vers la fin les cybercafés se sont faits plus rares qu’un léopard ! Puis dans la galerie viendra une avalanche de photos : non seulement j’accuse un retard qui date de la Nouvelle-Zélande, rien que ça, mais en plus le fait d’être confortablement installé à la maison nous permettra de revoir et de sélectionner les meilleurs clichés. N’oublions pas les billets d’après-voyage, qui feront le point sur notre petit tour autour de la planète - et entre autres son aspect financier : combien ça coûte ? Certains (et certaines) pourront peut-être y trouver des informations intéressantes pour préparer leur propre odyssée… Finalement, pour les acharnés que la lecture d’autres carnets de voyage ne rebutent pas, je mettrai en ligne les journaux tenus lors de nos pérégrinations en Sibérie, en Tasmanie et en Irlande, projet que je caresse depuis longtemps.
Voyageuse, voyageur, sache enfin que ta patience va être honorée : ici, tu pourras découvrir le quatrième, dernier et petit coin du globe !
Bon, nous ne sommes pas à la cérémonie des Oscars, je n’ai pas l’intention de faire un long discours, mais je tiens à remercier ici plusieurs personnes sans qui les 4 Coins du Globe n’auraient jamais pu s’arrondir sur vos écrans :
Mes plus profonds remerciements vont à eux et à toutes les personnes qui, par leurs idées, leurs remarques et leurs suggestions, m’ont aidé à développer ce site et rendre sa lecture agréable - et là, en bon fils je pense à ma môman, et en bon copain je pense à ma copine !
Et bien entendu, tout ça ne servirait pas à grand’chose sans TOI, chère lectrice, cher lecteur ! Merci donc à toi de parcourir ces lignes !
Eh bien, il sera très court ce billet : ce blog commence à avoir de l’allure, c’est mon humble avis !
Et j’attends bien sûr de nos avisées lectrices & lecteurs remarques, commentaires et critiques, bref, tout ce qui pourra le faire évoluer vers la per-fec-tion !!!
(… perfection qui n’est pas de ce monde, paraît-il, mais ça ne va pas nous empêcher d’en faire un tour pour nous en assurer…)
— Delémont, Jura
Ouf, les voilà enfin ces comptes ! Il nous a fallu bien du temps pour déchiffrer notre fidèle petit carnet bleu tout écorné et en retranscrire ses 1.500 lignes… sans faire d’erreur, s’il vous plaît ! Tâche délicate donc, et surtout très longue. C’est dingue le nombre de trucs à faire quand on n’a pas ouvert son courrier depuis six mois…
Donc voili-voilou le décompte du voyage, en francs suisses (ben oui, nous sommes toujours au franc ici) et en euros. Tous les chiffres suivants sont pour nous deux ; pour une personne seule il faut prendre sa calculette, diviser par 2 et ajouter un nombre aléatoire entre 1 et 1.000.000 : il s’avère en effet beaucoup plus économique de voyager à 2.
Dépenses préliminaires | billets d’avion |
11 248, 70 CHF
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7 026, 28 €
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préparatifs |
868, 75 CHF
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542, 55 €
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Voyage | 2 personnes pendant 6 mois |
20 714, 30 CHF
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13 059, 69 €
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dépenses personnelles Carine & Tom |
878,89 CHF
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556, 95 €
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Coût total du voyage |
33 710, 53 CHF
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21 185, 47 €
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Première constatation : ce n’est pas si cher que ça de voyager pendant 6 mois : en gros 2.000 € par personne et par mois. Certes, il faut choisir entre ça et ce rutilant 4x4 BMW qui vous fait saliver d’envie à chaque passage de la pub à la télé.
Deuxième constatation : le billet d’avion représente à lui seul très exactement le tiers du coût total. Pour le rentabiliser, solution : partir le plus longtemps possible, c’est-à-dire une année. Et sur ce plan-là, nous avons été assez dispendieux, ne profitant que de la moitié du temps qui nous était imparti.
Troisième constatation : Carine a fait preuve d’une remarquable acuité quand elle a ébauché notre budget pour le voyage. Son calcul a donné 20.085 CHF (12.632 €), à comparer aux 20.714, 30 CHF (13.059,69 €) dépensés réellement pendant notre périple. La cerise sur le gâteau, c’est que ses estimations pays par pays sont très proches de la réalité, et les quelques surestimations (Bolivie, Chili) compensent les pays plus chers que prévus (Nouvelle-Calédonie) et même notre petit extra de la pointe sud-américaine, la croisière en Terre de Feu sur le Mare Australis, qui coûta (pour nous deux) la bagatelle de 1.560 $, soit 1.978 CHF, soit 1.243 €.
À ce propos, une petite note préliminaire : dans les diagrammes suivants ne figurent ni le billet d’avion, ni la croisière australe. Ces deux lignes ont tendance à déséquilibrer tout le reste, et à fausser le coût réel du voyage dans chaque contrée.
Pays par pays, voilà ce que nous avons dépensé.
Donc l’Amérique du Sud, où nous avons passé pas loin de 3 mois - la moitié de notre périple - ne nous aura coûté qu’un petit tiers de notre budget total. Le continent idéal pour les voyageurs désargentés, par conséquent. Mention spéciale à la Bolivie, où l’on peut (sur)vivre et voyager pendant longtemps pour presque rien… à condition de bien supporter altitude et gelées roses !
Penchons-nous maintenant sur les dépenses catégorie par catégorie. Arrivés à ce point, une petite explication de texte s’avère nécessaire : voici la signification des catégories.
Pas de doute, louer une voiture revient très cher - d’autant plus que le prix à payer est le même que l’on soit une ou deux personnes. Les dépenses “de luxe” (transport individuel, restaurant, boissons) représentent 42%, pas loin de la moitié de notre budget : une économie aurait sans doute été possible ici, mais de toute manière il aurait bien fallu se déplacer, manger et boire, toutes choses jamais gratuites. Alors pourquoi ne pas se faire plaisir ?
Celles & ceux qui projettent un voyage au long cours dans un ou plusieurs des pays que nous avons visité seront certainement heureux de trouver les quelques diagrammes qui suivent - probablement parce que nous, nous aurions bien aimé trouver quelque chose de ce genre pendant la préparation du budget. Il a fallu faire un peu au pifomètre, mais comme je le soulignais plus haut, Carine s’en est sortie avec brio !
Le logement est bien évidemment une part non négligeable des dépenses, que nous avons essayé de comprimer au maximum en recourant au camping autant que possible (pourquoi traîner une tente avec soi, sinon ?) et - quand nous avions cette chance - en allant rendre visite aux copains disséminés aux 4 coins du globe ! J’ai ici une grosse pensée pour eux, et je leur adresse un GRAND merci : le matelas gonflable d’un ami vaut toutes les chambres d’hôtel du monde !
Les Andes & leurs nuits glaciales ne permettent guère de faire du camping : ce fut hôtel tous les soirs en Amérique du Sud - à l’exception notable de Buenos Aires chez Anna & Jaume, de la Bicyclette de Gilles à Valaparaiso au Chili, et de l’Île de Paques à la chaleur salvatrice (mais tempérée par ses cafards). Malgré cette orgie d’hospedajes, l’Amérique du Sud se place question budget logement en tête de peloton… ce qui n’est pas le cas de celle du Nord, où nous avons pourtant usé la pelouse des campsites que nous avons trouvé (avec peine, tant ils sont bien dissimulés, ou complets jusqu’à la gueule). La Nouvelle-Zélande, avec beaucoup de campings - mais pas toujours sous tente pour cause de pluie - est à un niveau voisin, alors qu’en comparaison l’Australie paraît très économique : la raison en est que nous avons passé beaucoup de temps à Perth, gracieusement logés chez Eric & Cress. En Afrique du Sud, nous avons alterné guesthouses et campings, et le prix par nuit, un peu moins de 12 €, reste très raisonnable. Quand à la Nouvelle-Calédonie, elle remporte de loin la palme de la cherté… et pourtant, nous ne nous sommes guère permis de luxe ! [pour plus d’informations sur le logement, voir le commentaire ci-dessous]
Les transports en commun, ça a du bon… surtout pour le porte-monnaie ! Les bus sud-américains n’ont plus de secret pour nous, ils nous ont mené de haut en bas du continent, et ne nous ont pas coûté tant que ça. Mais avouons que pour visiter un pays à son rythme, rien ne vaut une voiture. Et dans bien des cas, il est difficile - voire impossible - de s’en passer : hors des sentiers battus, comment faire sans en Afrique du Sud ou en Nouvelle-Calédonie ? Ceux qui aiment exclusivement les villes seront heureux de s’affranchir d’une voiture chère et encombrante… malheureusement Carine & moi adorons gambader dans la campagne !
La nourriture… voilà un bon indicateur du prix de la vie dans chaque pays. Curieusement, la fast-food nation n’est pas des plus économiques : elle se classe pénultième, derrière - tiens tiens - la Nouvelle-Calédonie, décidément toujours très haute dans ce palmarès. Par contre, le Sud de l’Amérique se démarque nettement par rapport au Sud du Pacifique ou de l’Afrique. Certes, il est vrai que les gargotes boliviennes n’ont pas grand’chose à voir avec les bons petits repas dégustés en Afrique du Sud ou en Nouvelle-Zélande (toujours accompagnés de jus de raisin local). Par contre, notez que les immenses et succulents lomo de bife servis en Argentine - arrosés d’un petit Malbec du cru - sont très abordables : prenez un billet pour Buenos Aires et réservez une table à Palermo dans la foulée !
Ici, pas de doute, certains pays monnayent cher leurs beautés : Pérou, Chili & Afrique du Sud ne lésinent pas sur le tarif d’entrée de leurs sites et leurs parcs naturels. Mais qui n’aurait pas envie de contempler le Macchu Pichu, les moaïs de l’Île de Pâques ou les guépards du Kalahari ?
Question internet, c’est le monde à l’envers : c’est dans le prétendu “tiers-monde” qu’il est le plus facile - et le plus économique - de se connecter. En Australie ou en Nouvelle-Zélande, c’est un peu délicat de trouver un café internet. Quant aux États-Unis, les seuls points d’accès sont dans les bibliothèques publiques - donc gratuites, mais pleines de contraintes. Et je n’évoque même pas ici la Nouvelle-Calédonie, où quelques minutes sur le web vous coûteront votre chemise !
Et voici le classement final de nos 9 pays !
Sans surprise, les 4 pays sud-américains sont à conseiller pour celui qui veut voyager à moindre frais - avec mention spéciale pour la Bolivie, deux fois moins chère que le plus bas de tous les autres (le Pérou). Les USA, la Nouvelle-Zélande, l’Australie et l’Afrique du Sud se situent dans une fourchette “moyenne” de 60 à 80 € par jour - pour 2 personnes, toujours. Quant à la Nouvelle-Calédonie, elle crève les plafonds à plus de 100 € par jour ! Le Caillou est un endroit magnifique, certes, mais réservez-le pour votre voyage de noces - de diamant, de préférence : voilà un Caillou qui vaut cher.
La petite touche finale, c’est qu’avec ces 20.000 et quelques francs suisses dépensés durant le voyage, Carine & moi avons bien réparti chacun notre contribution financière. Au final, j’accuse un retard par rapport à elle de seulement 336 CHF sur la facture globale, soit moins de 2% du total. Et en plus, Carine m’a murmuré que je pourrai la rembourser en nature !
Voila, j’ai enfin mis un échantillon de mes photos d’Islande. Si vous voulez voir quelques magnifiques paysages, il suffit de cliquer ici.
Pour ce qui est de nos préparatifs finaux, tout est pratiquement prêt et surtout, j’ai essayé de faire mon sac. La quantité totale des affaires à emporter est immortalisée par la photo qui suit:
A première vue, je me suis dit que j’aurais vraiment beaucoup de mal à mettre tout ça dans mon sac à dos de 55 litres. Hé bien non, finalement, j’ai réussi! Et le poids n’est même pas si imposant, quelques 12 kilos, ça devrait aller pour le transporter.
Bon, je ne dirai peut-être plus ça une fois que je l’aurai eu des heures sur le dos!
Ça y est, les billets d’avion sont arrivés ! (mais pas par air mail…
) Hé bien, je n’en ai jamais vu autant à la fois ! Il y en a 38, c’est à dire nos 19 trajets par personne, fort logiquement.
Et pour faire bonne mesure, nous avons les guides de voyage qui vont avec. La gamme n’est pas tout-à-fait complète : il nous manque encore le Chili et la Nouvelle-Zélande, et ils seront probalement des Lonely Planet, la collection préférée de Carine, histoire d’avoir un semblant d’homogénéité. (Pour ma part, je suis plutôt Guide Vert Michelin, mais en dehors des routes européennes point de salut !)
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