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La maman-oreiller
Carine a toujours une épaule secourable.
- lac de Tseuzier, Ayent
Suisse ~ vendredi 16 juillet 2010
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Dimanche 13 octobre 2013

Les grandes questions de la vie

Classé dans: ~ Tom @ 11:54

La scène: le repas autour de la table, dans la cuisine familiale.
Arthur (presque 4 ans) et Théodore (2 ans ½) mangent en devisant gaiement, tandis que Jonathan (8 mois) engloutit goulûment son biberon.
Le papa est là, qui à dompter une fourchette récalcitrante, qui à maintenir l’instable chope en place.
Ils en arrivent je ne sais comment à faire le jeux des prénoms, à savoir: quelles sont les véritables identités des héros masqués qui œuvrent dans l’ombre, tout le jour durant, auprès de ces petits anges ?

Papa : — Maman ?

Arthur & Théodore : — Carine !

Papa : — La maman de Maman ?

Arthur & Théodore : — Christiane !

Papa : — La maman de la maman de Maman ?

Arthur & Théodore : — Andrée !
Arthur : — Et la maman de la maman de Papa ?

Papa (surpris) : — Elle s’appelait Germaine.

Arthur : — Et elle est où ?

Papa (embarrassé) : — Elle est partie, elle est au Ciel.

Arthur : — Elle a pris l’avion ?

Papa (souriant) : — Non, elle n’a pas pris l’avion.

Arthur : — Alors elle a décollé en parapente ?

Papa (scotché) : — Euuuuh… non plus. Elle est allée au Ciel en faisant un long, très long, très très long dodo. Comme tous les vieux grands-grands-papas et les vieilles grands-grands-grands-mamans.

Arthur (déçu que feu sa grand-grand-maman n’ait pas l’étoffe d’un spationaute) : — Ah, bon.
Jonathan : — Burp.

Je vous jure, être parent c’est se confronter aux situations les plus inextricables.

Samedi 2 février 2013

Vous reprendrez bien un peu de THé ?

Classé dans: ~ Tom @ 14:20

— Delémont, Jura

JONATHAN
est né le 2 février 2013 à 14h20.

Contrairement à ce que je disais à la naissance de Théodore, Jonathan n’est pas venu au monde le 12.12.12, mais le 2.2.13. Une petite imprécision de 2 mois, oups. Veuillez nous pardonner, la ponctualité helvétique n’est plus ce qu’elle était. Mais, bonne pâte, le bonhomme a tout de même fait un effort pour rattraper le retard. Il est apparu huit jours avant terme, d’où des scores modestes sur l’échelle des poids et toises : 3.050 grammes pour 48 cm (les connaisseuses apprécieront).

J’en entends déjà qui, constatant qu’Arthur est né le 9.11.9, Théodore le 11.4.11 et Jonathan le 2.2.13, vont nous accuser, parents indignes, de mener des expériences astro-numérologiques sur d’innocents bambins. Eh bien, ils ont raison.

Et ils pourront également nous montrer du doigt en arguant que Jonathan n’est que la version hébraïque de Théodore. “Don de Dieu” en grec devient “Dieu (YHVH, autrement dit Yahvé, plus connu sous le sobriquet de Yo) a donné (natan)". Bref, que nous nous jouons d’étymologismes sur nos chères petites têtes blondes.

En tout cas, ils ne pourront pas nous accabler d’être sectaires. Le celte Arthur, le grec Théodore, l’hébreu Jonathan, voilà bien résumées en quelques prénoms les fameuses racines judéo-chrétiennes de notre civilisation, mâtinées d’une indispensable touche bretonne.

La question que l’on peut toutefois se poser est la suivante : si nous avions eu trois filles, auraient-elles eu les lettres CA de leur maman dans leur nom ? Angelica, Pascale, Carla ??? Une chose est cependant sûre : les grands-mères auraient été bien contentes d’avoir autre chose que des petits mâles à dorloter.

Mais entre thé et café, la nature a tranché. La petite touche cocasse de l’histoire, c’est que Carine serait plutôt thé alors que Thomas est complètement café. Quant à ceux qui imaginent que nous abusons décidément de thé-hasch, mieux connu sous le nom de space tea, c’est qu’ils en ont trop fumé.

~ les photos du jour ~
Jonathan La paternité, source de joies ineffables

Mardi 24 juillet 2012

De l’indicible plaisir d’une partie de jeu de rôle

Classé dans: ~ Tom @ 23:37

— Rêve De Lémont, dans la Confédération Onirique

J’ai goûté ces trois derniers soirs à l’inénarrable bonheur de partager une partie de jeu de rôle entre amis. Car, après avoir remisé il y a deux ans, huit mois et quinze jours (facile de se souvenir, c’est la date de naissance de mon premier fils) mes dés, livres et feuilles de personnage au placard, l’insistance d’un jeunot de onze ans à peine m’a contraint à ressortir tout le poussiéreux fourbi de son coffre aux trésors.

Depuis mon accession à l’enviable stade de la paternité – source de joies ineffables, rappelons-le sans faiblir – j’ai dû quelque peu délaisser mes chers compagnons vampires, leur cité de Hope, Nouvelle-Angleterre, les intrigues machiavéliques qui s’y trament et les gestes héroïques qui s’y dessinent dans les ténèbres. Sans oublier tous les bons moments que nous partagions en off, à côté du jeu, lors de nos grandes conversations sur la politique économique idéale de l’Hexagone ou devant un film – souvent une perle, mais pas que – dénichée par l’un ou l’autre d’entre nous.

Hélas, le Rejeton (et pas celui de Yog-Sothoth) a sonné le glas de cette aimable période post-ado, que nous étions parvenus à étirer, malgré les boulots et la distance, bien au-delà de ce que l’on pouvait espérer. L’arrivée de deux bambins en simultané est venue mettre un terme à nos réunions de conspirateurs à la lueur des bougies, tous rideaux tirés.

Mais dans l’ombre œuvrait une force occulte et puissante, celle de la curiosité de la jeunesse. Gabriel, onze ans, entend depuis à peu près cet âge son géniteur Fabien évoquer avec émotion ses souvenirs de roleplaying game avec ses complices (dont je suis). Du coup, leur visite père & fils en terres jurassiennes était une magnifique occasion à ne pas laisser passer pour goûter enfin au fruit défendu. Avec toute l’arrogante assurance de la jeunesse, le freluquet a exigé – et obtenu – des deux vieux croûtons que l’on l’initie enfin à ce mystère : le JEU DE RÔLE.

Un jeu étrange, qui échappe presque totalement à la compréhension des nouvelles générations, puisqu’il ne nécessite ni Xbox, ni iPhone, ni même un vieux PC pourri. Un jeu qui ne se joue qu’avec du papier, un crayon, quelques dés bizarres et beaucoup, beaucoup d’imagination.

Et nous voilà donc partis dans le monde onirique de Rêve de Dragon, en compagnie des voyageurs Vasam Lampadrim et Capa Barak. La cité de Tourmaline est toute pavoisée à l’approche de ses fameux Jeux. Ni une ni deux, nos braves se lancent dans la compétition – non sans succès d’ailleurs, malgré les complots ourdis par leurs rivaux. Mais contrairement aux Olympiades de Londres, qui commencent d’ailleurs dans trois jours, les Jeux de Tourmaline n’offrent que trois disciplines : la lutte, la course et le tir à l’arc. Et la remise des médailles signera-t-elle la fin de l’histoire ? Pas si sûr, si l’on en croit le Seigneur des Oignons…

Gabriel, les Dragons et moi-même te remercions de ta persévérance pour découvrir ce à quoi ton père et ses acolytes se sont adonnés durant de longues années. Et s’il te plaît, continue dans cette voie d’Oniros, car ce n’est pas une lourde flamme olympique à porter, mais un ludique flambeau à reprendre.

~ les photos du jour ~
Le Rêve de Dragon se tisse... Gabriel lance ses premiers dés

Mercredi 11 avril 2012

Le syndrome du n°2

Classé dans: ~ Théodore @ 0:58
— devant ma première bougie

Dur dur d’être un bébé, comme dit la chanson. Surtout dur dur d’être un bébé n°2 avec un grand frère comme le mien. Arthur n’arrête pas de me traiter comme un de ses doudous. Il se jette sauvagement sur moi, son bidon bien en avant, dans le but avoué de m’étouffer sous sa masse terrifiante de 13 kilos. Évidemment moi je m’étouffe, mais de rire, pasqueu en général il vise pas bien.

J’imagine que, depuis que l’homme est homme et le bébé bébé (qu’est-ce que je parle bien, moi ! enfin, c’est une image : je ne parle pas, je lance juste quelques “DA!” bien sentis), c’est le lot de tout petit frère d’être le souffre-douleur de son persécuteur d’aîné. Ça laisse des séquelles, si j’en juge par l’état de mon papa, le pôôôvre : lui aussi est un malheureux n°2. (Mais comme il y a un n°3, il a pu se venger.)

Le bon côté, c’est que Grand Frère me montre la voie : tenir sur deux jambes, marcher, courir, grimper partout, le tout en débitant un vocabulaire de plus en plus étoffé. Pour l’instant je subis certes, mais aussi je regarde, je contemple, j’admire, je dissèque, j’enregistre, j’emmagasine. Et quand j’aurai maîtrisé tout ça, je pourrai enfin répliquer à ses “NON THÉO !” tonitruants. Non mais.

En tout cas aujourd’hui c’est mon anniversaire, alors ma défense s’organise. Dans le match Arthur-Théodore, le score n’est plus de 2-0, mais 2-1. Peut-être un jour j’aurai plus de points que lui ?

Jeudi 30 juin 2011

J’aime pas les chats

Classé dans: ~ Tom @ 23:47

— jardin des Semailles, théâtre d’une cruelle tragédie

En fait si, j’adore les chats, je trouve que ces créatures sont sur notre planète l’adaptation la plus réussie d’un fauve à son environnement. Mais depuis ce matin, je n’aime plus les chats. Depuis que j’ai découvert le nid en bas de l’arbre.

Cela fait plusieurs semaines que, depuis notre salon, nous observons les allers et venues d’un merle et d’une merlette. Le couple s’est d’abord échiné à construire un beau nid bien rond, enfoui en sécurité dans les frondaisons de notre glycine. Ensuite Monsieur s’est mis à chanter ses gais monologues au sommet des arbres, tandis que Madame restait tapie à couver ses œufs. Et ces derniers jours, trois petits becs affamés en sont sortis. Les navettes sont dès lors devenues incessantes : les merles revenaient au nid le bec chargé de beaux petits lombrics bien juteux, pour repartir en chasse quelques secondes plus tard. Le manège durait depuis l’aube jusqu’à la tombée de la nuit, soit relativement tard en cet équinoxe d’été. Et comme c’est l’heure où nous, exténués et affalés sur le canapé, avions fini par réussir à coucher notre progéniture, nous ne nous lassions pas d’admirer ces infatigables parents.

Alors quand ce matin j’ai vu le nid vide à terre, une immense compassion m’a envahi pour ce couple dont les incessants efforts ont été réduits à néant par le caprice d’un chat même pas affamé. (Si seulement les chats étaient végétariens… ils pourraient s’en prendre à nos abricots, mûrs et goûtus à souhait, sans que je ne dise rien.)

PS. Ceci dit, j’accuse peut-être un peu vite les chats. Un dangereux psychopathe pervers est actuellement en cavale dans le Jura suisse : c’est peut-être lui qui s’en est pris à mes oisillons.

~ les photos du jour ~
Feu le nid des merles Délices d'abricots

Mardi 10 mai 2011

C’était bien aussi la vie avant

Classé dans: ~ Tom @ 1:59

Si vous aimez les grasses matinées
Si vous aimez les siestes crapuleuses
Si vous aimez les après-midis farniente
Si vous aimez les nuits tranquilles
Si vous aimez une maison propre en ordre
Si vous aimez un jardin tiré au cordeau
Si vous aimez négliger les dangers domestiques
Si vous aimez monter les escaliers sans portillons
Si vous aimez ne pas répéter vingt fois la même chose
Si vous aimez cuisiner de bons petits plats
Si vous aimez dîner tôt
Si vous aimez dîner au resto
Si vous aimez sortir boire un verre
Si vous aimez vous trémousser dans les concerts
Si vous aimez vous déhancher dans les festivals
Si vous aimez visiter les musées
Si vous aimez vous payer une toile
Si vous aimez regarder un film d’une traite
Si vous aimez dévorer un bouquin
Si vous aimez enchaîner les longueurs de piscine
Si vous aimez écrire des billets sur votre blog
Si vous aimez les jeux vidéo
Si vous aimez le jeu de rôle
Si vous aimez passer un week-end entre amis
Si vous aimez vous promener en Normandie
Si vous aimez voyager léger
Si vous aimez voyager loin
Si vous aimez les balades en forêt
Si vous aimez les randonnées en montagne
Si vous aimez les moments contemplatifs

Alors NE FAITES PAS D’ENFANTS.

(Par contre, si vous aimez le piment de la vie, alors faites-en. Plein.)

Lundi 11 avril 2011

Don des dieux

Classé dans: ~ Tom @ 0:58

— Delémont, Jura

THÉODORE
est né le 11 avril 2011 à 0h58.

11.4.11 pour Théodore, 9.11.9 pour son frère Arthur : quelle belle harmonie numérique ! Le prochain ne pourra naître, c’est sûr, que le 12.12.12 !

Contrairement à Arthur, qui était pressé de sortir dix jours plus tôt que prévu, Théodore a pris son temps et bien profité du doux ventre hospitalier de sa maman : il est resté six jours de plus. Ça se remarque au niveau mensurations : 3.640 g et 52 cm — belle bête.

Une petite note sur l’étymologie du prénom : la forme originale est Théodôros de Theós, « Dieu » (θεός), et dōron, signifiant « don » (δώρον). Matthieu en est son équivalent en hébreu. Théodore peut être un prénom féminin, mais reste rare ; sa version féminine Dorothée est nettement plus répandue (et Dorothée peut être masculin également).

Mais loin de ces considérations linguistiques, j’avoue que lors du choix du prénom me trottait dans la tête la chanson suivante :

On s’ennuie tellement

Alors la nuit quand je dors
Je pars avec Théodore
Dehors, dehors, dehors, dehors
Marcher dans le désert
Marcher dans les pierres
Marcher des journées entières
Marcher dans le désert
Dormir dehors
Couché sur le sable d’or
Les satellites et les météores
Dormir dehors
Il faut un minimum
Une bible, un cœur d’homme
Un petit gobelet d’aluminium
Il faut un minimum
Si loin de la nature ici
Le cœur durcit
On est si loin de l’air
On est si loin du vent
Si loin du grand désert
Si loin de l’océan

Alors la nuit quand je dors
Je pars avec Théodore
Dehors, dehors, dehors, dehors
Marcher dans le désert
Si loin de la nature ici
Le cœur durcit
Chercheur de trésor
De brindilles et de phosphore
D’amour humaine et d’effort
Chercheur de trésor
Il faut un minimum
Une bible, un cœur d’homme
Un petit gobelet d’aluminium

On s’ennuie tellement

Alain Souchon, La Vie Théodore

~ la photo du jour ~
Première rencontre entre frères

Vendredi 1er avril 2011

À la recherche du temps perdu

Classé dans: ~ Tom @ 1:57

— Canton du Jura, 3,5% de chômage

M. Proust me pardonnera : je pourrais me mettre à pleurer comme une de ses madeleines, car aujourd’hui est mon premier jour sans emploi (et ce n’est pas un poisson d’avril). Suite à une discussion avec mon patron en janvier dernier, j’ai décidé d’aller voir si l’herbe était plus verte ailleurs. Après six ans de bons et loyaux services, il était temps pour moi de changer un peu d’air et de découvrir autre chose. Donc démission, 2 mois de délai de congé, formation de mon remplaçant, pot de départ. Dans l’intervalle, ceux qui apprenaient la nouvelle ouvraient des yeux ronds en me demandant : “Tu as déjà trouvé quelque chose ?", comme s’il était insensé de quitter un job sans en avoir un autre dans la manche. Seuls mes frères ont compris ma décision en résumant ainsi : “Quand il faut, il faut.” J’aime cette concision lapidaire.

Or doncques commence maintenant ma recherche d’un nouveau boulot. Qui dit boulot dit temps passé à travailler pour autrui — donc temps perdu (d’où le titre, merci Marcel). Et l’agence suisse pour l’emploi ne badine pas avec le sérieux de cette recherche : les contrôles permanents exercés sur ses chômeurs font passer le Pôle Emploi pour un tranquille Club Med.

Mais ma première tâche, prioritaire sur toute autre, va être d’aider Carine à accueillir notre deuxième petit bébé. Et avec un Arthur dans les pattes, c’est sûr, deux parents à plein temps ne seront pas de trop !

PS. Ami futur employeur qui lit ces lignes, sois assuré que chez toi je ne perdrai pas mon temps ! ;-)

~ la photo du jour ~
Echographie de bébé n°2

Mardi 9 novembre 2010

Un an déjà

Classé dans: ~ Tom @ 3:31

Le problème avec les enfants, c’est qu’ils vous donnent une conscience aiguë du temps qui passe. Avant, une année écoulée n’était qu’une de plus, et on se demandait à peine ce que la suivante pourrait bien révéler de surprises. Mais avec un enfant, on a un chronomètre vivant sous les yeux, un chronomètre qui crie, pleure, bouge, évolue, apprend, rampe, marche, gazouille, rit.

La seule conclusion qui s’impose est : il grandit.

Et le corollaire de cette conclusion est : je vieillis. :cry:

Mais cette pensée, pour inéluctable et déprimante qu’elle soit, ne m’empêchera pas de te dire :

BON ANNIVERSAIRE ARTHUR !
et bon anniversaire à ta maman qui, elle, ne vieillit pas, mais s’épanouit

~ les photos du jour ~
Pris en flagrant délit de soufflage Ha mais oui, c'est mon gâteau ! Exploration en 4x4 Bon, il y a quoi d'autre d'intéressant ? Mais qu'est-ce que c'est ?

Mardi 21 septembre 2010

Moteur ! Action ! COUPEZ !

Classé dans: ~ Tom @ 23:30

37 ans. Il était temps de devenir un père de famille respectable.

découvrez comment ici

(Pour la petite anecdote, la dernière fois que je me suis coupé les cheveux, c’était le jour de mes 30 ans. Et là, pour le coup, je m’étais vraiment rasé la tête. J’avais acheté une tondeuse à cheveux spécialement pour l’occasion. Acheter une tondeuse pour l’utiliser 2 fois en 7 ans ? voilà qui semble peu judicieux. Eh non : cette tondeuse est régulièrement mise à contribution pour venir à bout des barbes de trois treize jours.)

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