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Samedi 16 septembre 2006

Le Salar de Uyuni

Classé dans: ~ Tom @ 22:46 ~ édité le dimanche 13 mai 2007 @ 15:54

— Uyuni, “la Hija Predilecta de Bolivia” (la Fille Préférée de la Bolivie)

Il y a 30.000 ans, le Lago Minchín faisait tranquillement clapoter ses eaux sur l’Altiplano, jusqu’à ce que ses yeux, les Ojos del Salar, croisent le regard pétrifiant de la Méduse aux cheveux serpentins : il fut aussitôt changé en statue de sel. Telle pourrait être la légende du Salar de UyuniSalar de Uyuni, une immense surface aussi plate et blanche qu’une feuille de papier, le plus grand réservoir de sel au monde. Le paysage est irréel : c’est une mer solidifiée, éblouissante, ponctuée ça et là d’îlots de corail peuplés de cactus hérissés vers le ciel azur, et sillonnée de vagues pistes grises où les 4x4 soulèvent, tels les navires, une écume salée.

Avant de découvrir ce fascinant spectacle, nous en avons contemplé un autre, plus pathétique pour moi admirateur des belles locomotives : un Le cimetière de trainscimetière de trains. Des dizaines de motrices et de wagons désossés gisent dans le désert, livrés au vent et à la poussière. Ces locos à vapeur effectuaient vaillamment la liaison avec le Chili et le Pacifique, mais l’arrivée du diesel a sonné leur glas. Elles rouillent maintenant, immobiles et muettes, au milieu de la désolation.

Le sel, bien entendu, est exploité par les “paludiers” locaux : pour la table mais aussi pour confectionner toutes sortes d’objets, cendriers, petits lamas et souvenirs divers, et aussi tasses contenant cinq dés de sel : le parfait jeu de Maïa, dont les Géos se souviendront sans doute ! ;-) On construit même des maisons, voire des Hôtel de selhôtels, avec des briques de sel : murs, mobilier, lits, tout est en sel. Je me demande ce que deviennent ces habitations quand arrive la saison des pluies et que le salar se recouvre d’eau ? Rappelons que cette région est endoréique : chaque goutte d’eau tombée ici ne verra jamais la mer : elle se perdra dans les cristaux de sel. Il y aurait là aussi certainement matière à fable…

Nous avons traversé de part en part le salar pour nous aventurer sur les pentes du Volcán Tunupa où nous attendait une macabre vision : des Momies aymarámomies aymará goûtant le dernier repos dans une chu’llpa, non plus une tour funéraire comme à Sillustani, mais une grotte enfouie dans la lave refroidie. Nous croisions les doigts en espérant que ces squelettes désséchés ne s’animent pas soudain, comme dans Tintin & les 7 Boules de Cristal !

“El mundo es un pañuelo", le monde est un mouchoir comme on dit ici : nous avons retrouvé ce soir dans notre hôtel, par le plus grand des hasards, Nicole & DamienNicole & Damien, nos compagnons du Cañon del Colca au Pérou ! nul doute que nous nous croiserons à nouveau du côté des Chutes d’Iguazú !?!

~ quelques photos du jour (parmi les 22) ~
Flamands roses andins Les mêmes qui s'envolent Momie aymará Oui vraiment, tout est en sel Immensité de sel

Mercredi 24 janvier 2007

À la source de la rivière de diamants

Classé dans: ~ Tom @ 18:41 ~ édité le vendredi 6 avril 2007 @ 01:56

— Kimberley, Northern Cape

L’orage gronde sur les vastes plaines du Northern Cape, et le ciel est zébré de terrifiants éclairs ("zébré” est le mot exact au pays des Equus bruchelli). Peut-être qu’à l’endroit où elle frappe, la foudre laisse sur le sol un petit diamant ? Nous avons juste eu le temps de planter la tente avant que la pluie, menaçante toute l’après-midi, ne se décide à tomber. Et cette tente se trouve à deux cents mètres du Big Hole, le plus grand trou sur terre jamais creusé par la main de l’homme. C’est là qu’ont été extraits, de 1871 à 1914, 2.722 kg de diamants, ce qui représente un bon nombre de rivières de diamants, avouons-le. Le “grand trou” s’est creusé sur le toit d’une cheminée de kimberlite, un magma jailli des profondeurs de la Terre, charriant avec lui des morceaux du manteau, et parmi eux les précieuses pierres. Car ce pur cristal de carbone ne se forme qu’au-delà de 200 km de profondeur : avant il ne s’agira que de vulgaire charbon, quel paradoxe de l’alchimie !

La ville s’est rapidement construite à côté du trou, peuplée de femmes et d’hommes venus de tous les horizons, attirés par les adamantins reflets de la richesse - et parmi eux d’ailleurs, beaucoup de Noirs, traités comme des voleurs et des moins-que-rien. La plupart auront creusé ici leur tombe, quelques uns auront creusé leur fortune, comme les frères Diederick et Nicolaas Johannes de Beer, les fermiers propriétaires d’un terrain auparavant jugé ingrat, et surtout Cecil John Rhodes, magnat du diamant, fondateur de l’incontournable De Beers Consolidated Mines Ltd. Rhodes a bâti sur ces cailloux une fortune qui lui permit de devenir le Premier Ministre de la colonie du Cap, fer de lance de l’Empire Britannique, et même d’avoir un pays à son nom, la Rhodésie (maintenant Zimbabwe) !

Pénétrant dans le village de pionniers soigneusement reconstitué, nous sommes allés jeter un œil au-dessus du cratère désormais noyé d’eau, avant de passer dans une fausse galerie (un vrai parc d’attractions, avec bruit assourdissant et simulations d’explosions) puis d’arriver dans une exposition très complète. Le clou est sans doute l’immense coffre-fort qui trône au milieu du hall, renfermant plus de 300 diamants de la collection De Beers, dont Eurêka, la première pierre découverte en 1867 par deux gosses, source de la ruée vers le cristal. Le commentaire d’Eugene, notre guide, eut une touche surprenante, critiquant à mi-mots la De Beers d’avoir pillé le sous-sol et d’être partie en enrichissant Londres, mais pas Kimberley. Un ton politiquement incorrect, mais réaliste : maintenant la De Beers a quitté l’Afrique du Sud et opère au Botswana, reproduisant le même schéma qu’il y a un siècle. Ce n’est pas la faute des géologues, mais pourquoi, quand on trouve des diamants, de l’or, de l’argent ou du pétrole, ce n’est jamais la population locale qui en profite le plus ?

Il est 22h passées et nous revenons de dîner. Mais avant d’aller manger une pizza dans le plus fameux restaurant italien de la ville, nous sommes allés nous désaltérer juste à côté, au Halfway House Inn, le pub historique où Cecil John Rhodes venait boire sans quitter la selle de son cheval… et en effet, porte & plafonds sont assez hauts pour le permettre !

~ les photos du jour ~
Dentelle de poutrelles Le Big Hole aux diamants

Mercredi 31 mai 2006

Le billet du webmestre

Classé dans: ~ Tom @ 1:03 ~ édité le mardi 3 avril 2007 @ 22:21

Eh bien, il sera très court ce billet : ce blog commence à avoir de l’allure, c’est mon humble avis ! :-)
Et j’attends bien sûr de nos avisées lectrices & lecteurs remarques, commentaires et critiques, bref, tout ce qui pourra le faire évoluer vers la per-fec-tion !!!
(… perfection qui n’est pas de ce monde, paraît-il, mais ça ne va pas nous empêcher d’en faire un tour pour nous en assurer…)

Vendredi 11 août 2006

Retour à la civilisation

Classé dans: ~ Tom @ 12:15 ~ édité le jeudi 29 mars 2007 @ 07:57

— San Francisco, Californie

Et nous revoila à SF, après avoir suivi la spectaculaire ("scenic” est le terme exact) route côtière 1. Me pliant - avec néanmoins quelques difficultés - à la ponctualité helvète ;-) nous avons rendu la voiture avec 1 heure d’avance… on aurait pu se lever bien plus tard, snifff !

Assis à la terrasse du Café Flore, nous lisons d’un oeil inquiet les nouvelles sur la tentative d’attentat des avions de Londres. Plus de coupe-ongles, plus de shampooing… bientôt on prendra l’avion en slip, je vous le prédis. :-x

~ les photos du jour ~
... et maman guère mieux ! Papa poule... La brume de San Francisco Amandine, Karine & Denis

Jeudi 27 juillet 2006

Ca y est, c’est parti!

Classé dans: ~ Carine @ 9:20 ~ édité le mardi 27 mars 2007 @ 22:36

— Heathrow, aeroport de Londres

Et voici le premier billet du voyage! Bon, d’accord, Heathrow n’est pas d’un exotisme fou avec son design des annees 60 et ses hordes en transhumance, mais on a 3 heures a tuer dans ce grand hall bonde et fourmillant.
Notre premier vol s’est bien passe - ouf, il faut avouer que j’ai peur en avion donc je me cramponne a Thomas… mais le pire est a venir: 7 heures de vol jusqu’a Boston.
Ce matin le reveil a ete difficile: couches a minuit et demi apres une journee sur les chapeaux de roues qui fut couronnee par un dernier grand diner avec nos parents, il a fallut se relever a 3 heures du mat’ pour prendre la route de Bale et notre premier avion. Maintenant Thomas veut faire une sieste mais bon, a 9 h du matin, c’est vraiment pas le moment! Il attendra d’etre en l’air, cap pointant vers Boston, pour piquer un petit roupillon!

~ quelques photos du jour (parmi les 6) ~
Quelques M.I.T.iques noms français Panorama de Boston Carine & Boston Le mythique M.I.T. Dernier photo avant départ

Dimanche 10 décembre 2006

Nouméa, morne plage

Classé dans: ~ Tom @ 23:21 ~ édité le dimanche 25 mars 2007 @ 02:46

— Auberge de Jeunesse, Nouméa

Décidément, un dimanche à Nouméa n’est pas une mince affaire. Le matin - c’est-à-dire jusqu’à 11h - ça va encore : le marché est très animé, et il y a même des cybercafés ouverts. Par contre, après ça se gâte : la Place des Cocotiers toujours sous son grand rideau de fer, notre seul point de chute pour meubler l’après-midi est le cinéma. Mais voilà, ce complexe ultramoderne n’accepte pas les cartes de crédit ! Nous avions bien encore un peu de liquide, mais juste assez pour quelques sels de kava, le repas du soir et le bus pour l’aéroport. Pas question de griller nos dernières cartouches, et tant pis pour Clint Eastwood & Ken Loach. Encore un exemple qui permet de supposer que la Calédonie met tout en œuvre pour faire fuir ses visiteurs…

Heureusement, le crépuscule approchant, nous avons retrouvé Fabio - celui-là même de Valparaiso - et pour fêter nos retrouvailles transpacifiques, nous sommes allés déguster quelques sels au seul nakamal situé à une raisonnable distance de marche (20 minutes). Il nous a transmis son petit secret - un brin trop tard, hélas ! - pour avoir des bières fraîches en sortant du magasin, en ces temps de prohibition où la bière n’est plus vendue dans les frigos comme avant : la première chose est d’aller chercher un pack et de le glisser dans le congélateur des glaces (ou des poissons panés, au choix) puis de faire ses courses normalement, en prenant bien son temps. Enfin, avant de passer à la caisse, ne pas oublier de récupérer les bières bien fraîchies… que ne l’ai-je deviné quinze jours plus tôt !?! Enfin, j’ai pu régler de la meilleure manière mon volumineux problème de palmes, masque & tuba : Fabio en a plus besoin que nous désormais.

La nuit était tombée depuis longtemps quand nous avons fait nos adieux. Nous nous sommes dirigés vers un restaurant chinois (ah, les Chinois ! ils sont les seuls ici à avoir le courage de travailler un dimanche soir) pour un repas léger de soupe et de seiches. Et maintenant, nos sacs sont fin valab’ pour le saut aérien vers Perth, Western Australia. Tata la Calédonie !

Lundi 21 août 2006

Monastere de Santa Catalina

Classé dans: ~ Carine @ 19:19 ~ édité le dimanche 25 mars 2007 @ 02:46

— Arequipa, Perou

Nous sommes arrives a Arequipa, ville de 750 000 habitants situee a 2300 m d’altitude, sans probleme. Le voyage en bus de nuit s’est bien mieux passe que ce que je craignais. Il faut dire que le depart etait prevu a 22h45, et comme le bus est arrive avec 1h de retard, on est parti de Nazca a 23h45. Et comme la journee avait ete bien fatiguante, avec le premier voyage en bus et le vol en avion, je me suis aussitot endormie. Nous choisissons des bus confortables, avec des sieges inclinables, et service de petits dejeuners. Evidemment, c’est un peu plus cher, mais quand meme plus agreable et aussi plus securisant car nous voyageons principalement avec d’autres touristes. J’imagine que les Peruviens doivent prendre les bus moins chers.

Arrives a Nazca, notre premier souci a donc ete de trouver un hotel. Nous en avons visite 2, un trop cher et l’autre plein, et nous etions sur le chemin pour un troisieme quand une dame nous aborde pour nous proposer un hotel familial et pas cher. Comme nous portons nos gros sacs et que chercher un hotel pendant 1 heure ne nous tente pas beaucoup, nous la suivons. Elle nous emmene dans un joli petit quartier aux murs tout blancs, et nous propose une chambre tres chouette. Bon, la salle de bain n’est pas d’un grand luxe, mais nous ne faisons pas les difficiles. Cette dame vit la avec son pere et sa mere, tres sympas eux-aussi, meme si on est loin de comprendre toutes leurs explications en espagnol! Et nous avons eu droit ce matin a un petit dej bien copieux prepares par le papa et la maman, tout ca pour 5 soles (environ 2fr suisses).

Aujourd’hui, nous avons visite le superbe monastere de Santa Catalina. Il se trouve en plein coeur de la ville, et est un vrai havre de paix compare aux rues bruyantes et polluees des villes peruviennes. Le monastere est presque un petit village, avec 5 rues et plein de cours interieures et de places ombragees. Les murs sont peints en orange ou d’un beau bleu fonce, qui fait paraitre le ciel bien pale! Bref, on s’est balade 3 heures dans ce lieu magnifique.

Demain, depart pour une excursion dans le Canon del Colca. On devrait y voir des condors, et de superbes paysages. Recit de cette excursion dans un prochain billet!

~ quelques photos du jour (parmi les 9) ~
Monastère de Santa Catalina Cloître du monastère de Santa Catalina Monastère de Santa Catalina Monastère de Santa Catalina Monastère de Santa Catalina

Dimanche 30 juillet 2006

Cape Cod

Classé dans: ~ Tom @ 22:20 ~ édité le dimanche 25 mars 2007 @ 00:57

— Sandwich, Massachusetts

Malgre son nom, le Cape Cod ("cod” = “morue") a pour roi le homard. C’est en effet le paradis des “Lobster’s Lovers” ;-) car il n’y a pas un resto qui n’en propose pas. Pour ma part, je me suis toujours senti intimide devant ces droles de plats cuirasses, ou une technique bien specifique est a employer si l’on ne veut pas que le repas tourne a la bataille rangee entre le crustace et toi. Carine etant aussi neophyte que moi en ces savants domaines, nous nous sommes sagement abstenus de deguster un homard.

La journee entiere (enfin, ce qu’il en restait, soit une demi-journee) fut consacree a la visite de ce curieux bras de terre, bras replie dont le poing a pour nom Provincetown, le lieu initial de l’arrivee du Mayflower. Fort logiquement, nous avons commence par le bout de la presqu’ile - qui en fait est une ile, puisqu’elle est coupee du continent par le Cape Cod Canal. Trois impressionnants ponts l’enjambent, surtout le pont de la voie ferree qui se souleve verticalement pour laisser passer : en haut les bateaux, en bas les trains. Le Visitor’s Center s’avera etre interessant : entretenu par le US Corps of Engineers (dont la devise est “Essayons” en francais s’il vous plait) qui a construit tout cela, nous y avons rencontre un de ses representants qui apprecie la France, mais pas trop la guerre de son cher President.

Nous nous sommes ensuite degourdis les jambes en parcourant les forets et marais (peuples de mignons petits lapins, mais infestes de sales voraces moustiques !) du Cape Cod National Seashore, degustant les superbes paysages sur l’Atlantique. Nous sommes meme tombes sur la station originale de Marconi, la ou eut lieu le premier envoi et reception de messages sans fil entre l’Europe et l’Amerique. La station n’etait qu’une maquette, car l’originale a depuis longtemps ete engloutie par la falaise.

Un petit tour a Provincetown pour constater ce que l’on craignait: c’est une station balneaire hyper-frequentee, ou se garer meme releve de l’exploit. C’est aussi un lieu tres apprecie des homos : les drapeaux arc-en-ciel y flottent partout. Modius, tu nous aurais cache ca ?…

Et nous voila de retour au camping, un Forest State Park pour changer. Mais ici, point de voisins bruyants : c’est les grillons qui assurent le concert nocturne. Tant mieux !

~ quelques photos du jour (parmi les 10) ~
Breakfast au Ruisseau de la Grue Cape Cod National Seashore La colonne des Pères Pèlerins Héron (petit patapon) "Essayons" en V.O.

Lundi 31 juillet 2006

De nouveau a la bibliotheque!

Classé dans: ~ Carine @ 16:46 ~ édité le dimanche 25 mars 2007 @ 00:56

— Providence, Rhode Island

He oui, il faut croire que l’on est la pour etudier…surtout que demain, apres la visite de Harvard, on a mis Yale au programme! Qu’est-ce qu’on est studieux…

Donc, nous sommes actuellement en train de nous rafraichir (il fait toujours aussi chaud) a la bibliotheque de Providence, Rhode Island. Nous nous sommes un peu balades dans le coeur historique de la ville, avec ses jolies vieilles maisons de brique rouge, puis dans le quartier des affaires, avec ses gratte-ciel de verre.

Nous allons ensuite continuer direction le cimetiere, pour que Thomas puisse se “recueillir” sur la tombe de Lovecraft (c’est qui ca??? je me suis moi aussi pose la meme question, c’est un auteur americain apparemment celebre pour ses romans fantastiques…)…Comme si photographier sa maison, son monument et la maison ou a vecu son oncle n’etait pas suffisant!!! :-) Mais quand on aime, on ne compte pas!

~ quelques photos du jour (parmi les 16) ~
Sur la tombe de H.P. Lovecraft Lafayette, nous voilà ! H.P. Lovecraft Swan Point Cemetery Tombe de H.P. Lovecraft

Mardi 1er août 2006

Yale et New Haven, Connecticut

Classé dans: ~ Tom @ 22:10 ~ édité le dimanche 25 mars 2007 @ 00:55

— Deerfield, Massachusetts

Aujourd’hui fut consacre a la grande passion des Americains, j’ai nomme: la voiture. Apres un breakfast dans une de ces cafeterias typiquement typique que l’on voit dans les road-movies, nous avons avale le bitume des highways jusqu’a New Haven, Connecticut, siege de la prestigieuse universite de Yale. Pour l’anecdote, sachez que ces highways sont a 2 chaussees tres separees (on pourrait mettre une 3eme entre), qu’elles comportent 3 sinon 4 voies bien larges… et que la vitesse est limitee a 100 km/h ! C’est vous dire si l’on se traine.

L’Universite de Yale valait le detour: c’est un immense ensemble de batiments style neo-gothique, avec des bibliotheques comme des cathedrales et des gymnases comme des basiliques. Meme les residences des etudiants ne sont pas sans rappeler la maison de Jacques Coeur a Bourges. Bref, le tout a un petit cote Harry Potter bien sympathique, qui donne bien envie d’etudier ici… s’il n’y avait les droits d’inscription: 52 000 $ pour une annee !!! Il faut vraiment que papa-maman soient passes par ici pour pouvoir s’offrir une annee a Yale!

Nous avons ensuite mis le cap au Nord, quittant le Connecticut en direction des White Mountains, dans le New Hampshire. La tente est maintenant plantee dans un tres joli coin… qui serait parfait sans ses hordes de moustiques ! Et comme je suis litteralement en train de me faire bouffer, je vais arreter ma prose de ce soir ici.

~ les photos du jour ~
La moutarde de Dijon! Bibliothèque de Yale
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