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Samedi 23 février 2008

Pour Perlin tapez 1, pour Pinpin tapez 2

Classé dans: ~ Tom @ 1:10 ~ édité le dimanche 24 février 2008 @ 18:18

Pour Perlin tapez 1Pour Pinpin tapez 2

C’est l’heure du choix.

Constatant que nos efforts désespérés pour réconcilier nos deux lapins restaient vains, nous avons dû prendre une douloureuse décision : en transformer un en pâté au cognac, hum, en garder un. Et donner l’autre. C’était la seule solution pour faire cesser la guerre civile qui éclatait dans le salon quand nous libérions les deux fauves en même temps.

Fichu instinct de domination ! Dès qu’elles s’apercevaient — même en terrain “neutre” comme la cuisine — le jeu du chat et de la souris (si vous me passez l’expression) recommençait : Pinpin, bien que beaucoup plus petite que Perlin, n’hésitait pas longtemps avant de sauter sur sa sÅ“ur. Les dommages collatéraux étaient pour nous, principalement sous forme de petites crottes molles et puantes transformant la scène de désolation en terrain miné. Mais de surcroît, Perlin se mit à son tour à manifester un instinct territorial hyper-développé : une fois dans sa cage, elle pouvait se montrer très agressive, gronder et se lancer toutes griffes dehors vers l’outrecuidante main qui osait venir la caresser. Fâcheux. Pendant ce temps, Pinpin restait enfermée toute seule dans le bureau. Donc au final, personne n’était vraiment content : ni Perlin, ni Pinpin, ni nous, navrés de voir nos p’tites loutes devenir acariâtres ou solitaires.

Nous avons donc passé une petite annonce — enfin, trois, pour être précis — sur internet. J’avoue qu’en contemplant la profusion d’offres, je n’y croyais pas trop. Mais j’avais tort : dès le lendemain, nous avions trois coups de fil et autant de mels (j’imagine que la les 2 monstres... encore gentilsphoto des 2 monstres doit y être pour beaucoup). Forcément, dans ces cas-là on dit oui à la première proposition qui vient, croyant que ce sera aussi la dernière. Conséquence : étant troisième dans la file, une Suisse allemande adepte de la cuniculiculture (l’élevage de lapins, donc) n’aura pas la satisfaction de voir Perlin rejoindre ses protégés et faire tout plein de jolis petits lapereaux. Et pourtant, sa compétence était hors de doute, et elle nous livra même son secret pour rabibocher deux lapines chamailleuses : mettre un vieux mâle castré au milieu, qui se chargera vite fait bien fait de calmer tout ce petit monde.

Ores doncques, demain un monsieur va accomplir 250 bornes pour que je lui pose un lapin… entre les mains. Oui, mais quel lapin ? Perlin, avec son allure impériale, sa belle fourrure angora mais son fichu caractère de cochon ? ou Pinpin, si mignonne et si frêle qu’on a tout de suite envie de la protéger ?

Le choix fut difficile et sera déchirant.

~ la photo du jour ~
Adieu à Perlin/Mistigrette

Samedi 9 février 2008

Recherche conseiller conjugal désespérément

Classé dans: ~ Tom @ 1:52 ~ édité le jeudi 21 février 2008 @ 00:30

Perlin vs Pinpin : le chocPerlin vs Pinpin : le chocOui, Carine & moi recherchons d’urgence un conseiller conjugal. Il nous faut résoudre au plus vite nos problèmes de couple… enfin, pas vraiment les nôtres : ceux de nos lapins. Il y a une semaine encore, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes : ils dormaient ensemble pelotonnés l’un contre l’autre, leurs petites truffes frémissant de concert. Ils commençaient par leur toilette et terminaient par celle de leur voisin. Ils mangeaient le même brin de paille par les deux bouts, pour finir par un bisou façon La Belle & le Clochard. Bref, c’était tout-mimi-chou-comme-tout.

Puis, vendredi soir, tout a soudain basculé. L’heure fatidique où une redoutable hormone pointe son museau de discorde. Elles – car il s’agit bien de deux sÅ“urs – se sont reniflées en se tournant autour, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Le cercle est devenu flou, pour dégénérer en véritable pugilat cuniculiculturiste. Car ne croyez pas que ces adorables peluches vivantes se chamaillent plus tendrement que deux chats : il s’agit de vraies bagarres de chiffonniers ! Un peu comme dans les Tex Avery, on ne voit rien d’autre qu’un nuage incertain de fourrure d’où jaillissent parfois des oreilles, des pattes et des boules de poils arrachées à grands coups de dents. Et pour avoir eu la témérité d’y plonger la main, je peux certifier que ces dents ne cisaillent pas que les carottes !

Notre premier soin fut, bien sûr, de séparer les belligérantes : une cage pour chacune, c’est le minimum. Car plus question de les voir dormir ensemble après ce clash : la rupture est consommée. Il faut donc maintenant tout séparer en deux : la salade, les graines, les câlins, les sorties… surtout les sorties : dès qu’elles se retrouvent truffe à truffe, c’est claquement de pattes courroucé puis course-poursuite endiablée qui reprend. Peut-être une amie lectrice ou un ami lecteur, expert en ce mystérieux domaine qu’est la psychologie lapine, pourra-t-il nous donner de bons conseils ? D’avance, cher conseiller cuniculiconjugal, merci.

Lundi 10 décembre 2007

Déception

Classé dans: ~ Tom @ 23:40 ~ édité le dimanche 20 janvier 2008 @ 14:02

Petit trainC’est le maître mot de la journée. L’échec a toujours un goût amer. Sautant dans le train en marche, j’imaginais déjà ma voie toute tracée de fer, mais les rails se sont arrêtés prématurément.
Je reste donc avec des cartes dans mon jeu. Qu’il en soit ainsi.

“La plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber,
mais de se relever à chaque chute.”

Confucius

Vendredi 19 janvier 2007

Le Karoo au fil de la Route 62

Classé dans: ~ Tom @ 22:19 ~ édité le dimanche 13 janvier 2008 @ 02:33

— Oudtshoorn, capitale mondiale de l’autruche, Petit Karoo

Une fois n’est pas coutume, c’est dans un backpackers que nous dormons ce soir. Finalement, c’est presque plus économique de dormir dans une vraie maison que sous tente : les campings ici n’ont - mis à part des douches et des toilettes - aucun aménagement pour préparer sa popotte. Ni cuisine, ni bouilloire pour de l’eau chaude toute bête, ni même de simples tables & chaises. Il nous faut donc le soir venu aller au restaurant, et le matin aller au café, ce qui revient vite assez cher. Les backpackers, des maisons reconverties en hôtel bon marché, sont eux équipés d’une cuisine : le prix de la chambre est alors largement compensé par celui du dîner et du ptidèj’ en moins.

Hier soir par contre, c’est dans un camping que nous avons passé la nuit, près de Calitzdorp, capitale sud-africaine du port, l’appellation locale du porto. Nous nous sommes installés sur le terrain d’un bush pub, un pub de brousse installé en pleine campagne entre vignes, autruches, springboks (les antilopes, pas l’équipe de rugby) et vulgaires poules. Mal nous en a pris d’ailleurs, car au petit matin ce n’est pas un, pas deux, pas trois, mais quatre coqs intempestifs qui se sont mis à chanter pour saluer l’aurore ! Heureusement que je n’avais pas un fusil sous la main, car il y aurait eu du coq au vin au menu de ce soir ! Mais le point d’orgue de cette symphonie animalière s’est produit quand nous avons levé le camp : alors que je roule la tente, un scorpion en sort à quelques centimètres de moi ! Ah, l’Afrique recèle bien des émotions fortes !

La soirée dans ce bush pub fut très couleur locale : un Cabernet Sauvignon venu des chais voisins, dégusté dans une ambiance 100% Afrikaner blanc, avec en musique de fond des groupes locaux chantant en afrikaans. Il y a juste quinze ans que l’apartheid a été aboli, mais le patron du pub semblait encore en éprouver une certaine nostalgie. Carine me faisait part de ses impressions sur le pays : l’arrogance affichée de certains Blancs se manifeste dans des maisons d’une taille démesurée, luxe choquant en comparaison avec les townships noirs qui s’étendent en bordure des villes. Ces bidonvilles un peu améliorés (il y a parfois l’eau et l’électricité), qu’on appelle pudiquement “habitations informelles", comptent des petites cabanes qui n’ont pas la taille du garage des demeures sus-citées. D’ailleurs, il en faut un grand garage pour ranger le gros 4x4 rutilant de chrome, et quand sur la route celui-ci apparaît dans le rétroviseur collé au pare-chocs, il faut humblement lui laisser place et rouler sur le bas-côté afin de ne pas réduire sa moyenne d’excès de vitesse. La nation arc-en-ciel mettra du temps avant de devenir le paradigme universel que prophétise Monseigneur Desmond Tutu.

Ces deux derniers jours nous ont vu traverser le Little Karoo ("le petit désert"), une étroite bande de terre semi-aride - où la vigne pousse pourtant bien - coincée entre deux spectaculaires chaînes de montagnes. De Montagu à Oudtshoorn (à vos souhaits !) en suivant la très scénique Route 62, nous avons pris les sentiers buissonniers par des gorges taillées dans des calcaires tourmentés : Tradouw Pass, Seweweekspoort, Swartberg Pass et Meiringspoort, cols qui enjambent les Swartberg Mountains et ouvrent le passage du Petit au Grand Karoo. “Il y a du mouvement dans ces roches", a lâché ma compagne en contemplant les fantastiques intrications dessinées sur les parois écarlates du défilé. Nous ne nous sommes pas contentés d’admirer l’extérieur de la montagne : nous sommes aussi allés voir dedans. Les Cango Caves constituent un très long réseau de galeries karstiques, dont nous n’avons aperçus qu’une infime partie superbement décorée de stalactites, stalagmites, piliers et draperies. Et ce soir, ce n’est plus vers la terre mais vers le ciel que nos yeux se sont tournés : une comète fait resplendir sa crinière entre les étoiles de la Croix du Sud.

~ quelques photos du jour (parmi les 9) ~
Bon il est pas gros, mais il fait quand même peur Vous voyez la comète ? Swartberg Pass III La maman & ses petits autruchons Swartberg Pass I

Mardi 1er janvier 2008

In memoriam

Classé dans: ~ Tom @ 11:33 ~ édité le samedi 5 janvier 2008 @ 00:44

Thésée

Thésée, le grand chat roux qui hantait les Jardins de l’Hippodrome,
est parti affronter l’invincible Minotaure dans le Labyrinthe.

Mais le fil d’Ariane s’est rompu.

Sa mère Gaïa et son frère Minos ont vu les voiles noires. Il ne reviendra plus.

Adieu, beau félin.

Lundi 31 décembre 2007

Les bonnes résolutions de fin d’année

Classé dans: ~ Tom @ 23:59 ~ édité le samedi 5 janvier 2008 @ 00:13

— Saillon, Valais, Suisse, au cÅ“ur des Alpes enneigées

L’ombre de Google plane maintenant sur le site ! J’en veux pour preuve ce que l’on peut trouver ici.

Non, plus sérieusement, les 4 Coins du Globe sont maintenant équipés d’une barre de navigation librement inspirée du célèbre moteur de recherche. Cette barre vous permet de vous balader un peu partout sur le site en quelques clics : les billets s’affichent par pages de 10, accélérant ainsi l’affichage. Et si vous lisez un seul billet à la fois, l’accès au suivant ou au précédent se fait sans manipulations compliquées. La mise en place de ce petit outil — plus délicate qu’il n’y paraît — était ma bonne résolution de 2007 : il était temps de la tenir !

Et que les gens de Google le sachent : si jamais en représailles ils veulent m’acheter, je ne cèderai JAMAIS ! (résolution inversement proportionnelle au nombre de zéros sur le chèque :-) )

Sur ce, Carine & moi vous souhaitons une

TRÈS BELLE ANNÉE 2008 !!!

(Bon, quelle va être ma bonne résolution à tenir pour le prochain 31 décembre ?)

Jeudi 22 novembre 2007

L’invasion des longues oreilles

Classé dans: ~ Tom @ 22:05 ~ édité le mercredi 2 janvier 2008 @ 20:09

Mes 3 demoisellesDepuis ce soir nous accueillons en notre logis Perlin & Pinpin, deux petits magiciens sans chapeau pointu mais avec oreilles poilues, dont le principal tour de magie est de faire apparaître de nulle part des petites crottes rondes un peu partout. Leur autre sortilège favori est de faire disparaître entièrement et en un clin d’Å“il feuilles de salade, poignées de graines et morceaux de tissu des fauteuils. Pourvu qu’ils n’apprennent jamais la formule du terrrrrible enchantement “Sectionner les fils électriques” ! En tout cas, une chose est sûre : c’est que nous, nous sommes envoûtés.

La dame chez qui nous les avons adoptés avait acheté il y a quelques mois de ça deux lapins femelles, afin de ne pas multiplier inconsidérément son acquisition. Mais voilà, les animaleries ne sont pas des vétérinaires, et ils se sont trompés sur 50% de leur pronostic… Résultat : une portée de sept petits lapereaux tout choux est arrivée. Pour éviter la même situation et faciliter la cohabitation future (sur les conseils des 3 p’tits lapins, un site très drôle et très bien fait), nous avions au préalable décidé de recueillir deux petites lapines, mais ô surprise ! Carine a jeté son dévolu sur un petit mâle, le baptisant aussitôt Perlin… je n’avais donc d’autre choix que de prendre son frère et de le nommer Pinpin ! Ne reste plus qu’à espérer qu’il s’agit réellement de deux mâles, et qu’ils s’entendront bien plus grands.

P.S. Suite à une visite chez le véto, nous avons découvert que Perlin & Pinpin n’étaient pas deux frères, mais deux sÅ“urs ! Enfin, il faudra y retourner un peu plus tard pour en être vraiment sûr : la détermination du sexe des jeunes lapins n’est assurément pas une science exacte !

Samedi 8 juillet 2006

Quelques petites nouveautés

Classé dans: ~ Aux 4 Coins du Globe @ 15:12 ~ édité le mercredi 2 janvier 2008 @ 00:28

Certains se disent probablement : “Mais y a jamais rien de nouveau sur ce blog !?! Qu’est-ce qu’y z’attendent pour les écrire leurs notes de voyage ?!?”.

Et je suis assez d’accord : l’assidue lectrice et l’attentif lecteur peuvent en effet déplorer le manque de frais & croustillants récits de voyage. Pour l’instant. Car dans moins de vingt jours, nous quittons le sol de notre belle Europe estivale, et à partir de ce moment-là, il y a fort à parier que les billets se succèderont à une belle cadence - selon toutefois notre fréquence de rencontre avec des cybercafés.

En attendant, nous préparons le site pour que tout soit fin prêt lorsque nous écrirons nos aventures depuis l’un des trois autres coins du globe. Cela inclut des tâches parfaitement invisibles au visiteur (dont un sérieux apprentissage en programmation PHP) et d’autres travaux moins… hermétiques, comme les différentes petites animations sympathiques (du moins c’est mon humble avis ;-) ) qui apparaissent sous vos zyeux zhébahis. D’ailleurs, vous avez peut-être déjà remarqué le petit planisphère ci-dessus, qui vous indiquera très précisément ;-) où nous en sommes de notre périple. Une carte plus grande & plus détaillée est déjà à l’ouvrage ; elle sera accessible en cliquant simplement sur la petite carte.
Par ailleurs, pour ceux que les textes rebutent et qui ne regardent que les images, la galerie photo vous ouvre ses portes. :-)
Enfin, nous serions très heureux de lire un petit mot de votre main dans le Livre d’Or, destiné à accueillir tous vos commentaires, remarques, critiques & louanges de portée générale (en bref, tout ce qui ne se rapporte pas directement à un billet).

Chère lectrice, cher lecteur, merci de ta patience et bon voyage aux 4 coins du globe !

Mercredi 23 août 2006

Cañon del Colca, déjeuner

Classé dans: ~ Tom @ 11:55 ~ édité le mardi 25 décembre 2007 @ 11:16

— Rio Colca, alt. 2.464 m

Nous voilà à nous reposer de notre descente de plus de 1.000 m, sur la verte pelouse d’un hospidaje perdu au fond du cañon, en attendant que la maîtresse de maison nous prépare la popotte. :-d

Le groupe est composé d’un couple de Suisses allemands (mais Damien se revèle être un parfait polyglotte), un couple d’Anglais, un Étasunien, une jeune Française un peu paumée, plus nous et les deux guides péruviens, Miguel le régional de l’étape et Gladys la petite apprentie. On ne peut pas dire que pour l’instant, le courant passe entre nous : on marche ensemble, c’est tout.

~ quelques photos du jour (parmi les 9) ~
Pont sur le Rio Colca Thomas et son equipement au Canon Del Colca Thomas fatigue au fond du Canon Del Colca Le Cañon del Colca et son Oasis La piscine naturelle de l'Oasis

Mercredi 7 novembre 2007

Le pire ennemi du blogueur

Classé dans: ~ Tom @ 1:32 ~ édité le lundi 24 décembre 2007 @ 08:39

Dans mon cas, ce pire ennemi porte un nom : Heroes of Might & Magic IV. Et je n’évoque même pas ses consorts Civilization IV, Railroad Tycoon et autres Tropico. Certains jeux sur ordinateur ont toujours été pour moi de puissants attracteurs… et de redoutables chronovores ! (Par contre, je reste parfaitement de marbre devant une console, fut-elle wii. Curieux, non ?)

Dans la liste des pires ennemis du blogueur, en n°2 viennent… les autres blogs ! Outre les excellentes @dresses qui apparaissent ci-contre (oui, là, à droite) et qui méritent toutes une lecture attentive, il y en a quelques uns qui sont tout simplement bluffants. Par exemple, celui qui s’intéresse un tant soit peu au Seigneur des Anneaux de Tolkien restera pantois devant cette relecture complète de l’histoire façon jeu de rôle (attention, ça va vous coûter quelques heures de bonne rigolade). Et là se pose une troublante et ineffable question : où certains frénétiques écrivains/lecteurs trouvent-ils leurs heures de sommeil ???

La morale de cette histoire est la suivante : l’écriture des billets corses m’a pris… légèrement plus de temps que prévu. Oups, mille excuses ! Mais vous comprenez, c’est pas de ma faute, c’est rien que la faute des jeux et des blogs !!!

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